Road trip à moto dans le Lubéron & les Alpes (partie 2)

(Photo par Romain Zimmer)

C’était donc bien parti pour que ce road trip à moto ait lieu mais il fallait déjà que notre pote belge arrive jusque chez nous sain et sauf et c’était méga loin de chez lui et rappelons qu’il avait son permis depuis deux mois seulement. D’abord, il devait aller de chez lui (en Belgique) jusque dans le Juras rejoindre sa copine. Ensuite, il devait venir chez nous soit en une fois soit en prenant un appartement Airbnb sur le chemin. Il a choisi la deuxième option et a fini par arriver chez nous en un seul morceau.

Et notre chat dans tout ça ?

(Image par christels de Pixabay)

Enfin, il fallait que notre chat vive bien notre première absence dans le Lubéron pour que le séjour dans les Alpes se concrétise pour moi. A savoir qu’on avait laissé notre chat une seule fois en 4 ans et demi et que ça s’était mal passé ce qui nous avait par la suite poussés à éviter absolument de la laisser à nouveau d’où notre voyage au long cours avec elle. Quand on a décidé de l’adopter on avait déjà prévu un voyage de quelques jours à Vienne donc on souhaitait l’accueillir chez nous après ce séjour. Evidemment. Sa famille d’accueil nous a conseillé de la prendre quand même avant notre voyage (soit une dizaine de jours avant) et ensuite elle pourrait l’accueillir à nouveau le temps de notre séjour. Manque de pot il y a eu quelques incidents qui ont fait que sa famille d’accueil a dû passer la nourrir chez nous ce qui n’était absolument pas prévu. On a pu profiter pleinement de notre voyage, la famille d’accueil nous donnait des nouvelles tous les jours et nous envoyait même des photos, on était hyper rassurés. Malheureusement, quand on est rentrés notre chat était malade et on s’est demandé si le stress n’avait pas joué. Les jours d’avant ça allait donc elle ne l’a peut-être pas mal vécu tout le long mais on a interprété son problème de santé comme un signe de stress possible et ça nous a fait beaucoup de peine. Bref, tout ça pour dire que le road trip dans le Lubéron serait un test et si cela se passait bien je pourrais aller dans les Alpes.

Quelques galères (sinon c’est pas drôle !)

(Image par brenkee de Pixabay)

Quand j’ai compris que notre road trip allait se faire j’ai à tout prix voulu m’acheter un airbag pour être le plus possible en sécurité. Un jour il y a eu une promo sur un airbag qu’on voulait (Alpinestar), mon copain se l’est acheté en ligne et moi je l’ai commandé auprès d’une boutique car il n’y avait pas ma taille (XS). Quand on est allés le chercher dans la boutique avec notre sac à dos de trek (que je portais et qui me donnait un air bien ridicule !) car il ne rentrait pas dans notre sac à dos de moto, la déception était au rendez-vous. Le XS était trop grand et le vendeur me déconseillait de l’acheter. J’en ai essayé un d’une autre marque (Ixon) et c’était pareil. Ah mais je veux un airbag comment je vais faire ? J’avais l’impression que je ne pouvais pas me protéger car j’étais un petit gabarit, ça me semblait injuste et je ne voulais pas faire le road trip sans airbag, ce n’était pas négociable. Dans un autre magasin j’ai essayé le Dainese qui peut se mettre soit sur ma veste de moto soit en-dessous. Il était un peu trop grand en XS sous ma veste moto. Je n’obtenais pas les mêmes conseils quand je demandais ce qui était le mieux à un vendeur ou à la marque directement par Internet donc je ne savais pas quoi faire. Finalement, j’ai décidé d’écrire directement aux trois marques et heureusement une personne qui travaille pour Ixon m’a conseillé de réessayer l’airbag, de me filmer avec et de lui envoyer la vidéo pour qu’elle me donne son avis. J’en ai commandé un d’une autre marque encore (Elite Turtle) lors d’une promo et je suis allée dans une autre boutique pour réessayer l’Ixon et faire la vidéo. Il se trouve que dans cette boutique l’airbag taillait moins grand que le XS du magasin précédent je n’ai pas compris pourquoi et mon interlocutrice de chez Ixon m’a dit que ça m’allait ce qui était également l’avis du vendeur, et le mien. J’ai renvoyé le Elite Turtle qui était vraiment trop grand. Au final, le seul qui m’allait était l’Ixon mais ça me convenait tout à fait tant que j’en trouvais un ! Je l’ai donc pris en XS et j’ai souscrit à l’abonnement à l’année. Ce n’est pas forcément le plus rentable mais ça pouvait aller et il y avait de bons avis dessus, c’était le principal. De toutes façons, est-ce que j’avais le choix ? Donc l’airbag c’était fait. Il nous restait une question de taille : comment partir en road trip avec un petit sac à dos de moto ? On s’habille comment en fait ? Mon copain s’est renseigné sur des valises à accrocher à la moto mais pour en obtenir qui soient sécurisées c’était trop cher. Concernant le top case, on en avait trouvé un abordable mais il fallait racheter une pièce et au final ça revenait cher. Bon. On savait que notre pote avait des valises mais est-ce qu’il réussirait à nous laisser de la place sachant qu’il devait y mettre des affaires pour 3 semaines en tout ? Et même s’il y en avait, quand notre pote allait retourner en Belgique à la fin du séjour dans les Alpes où est-ce qu’on allait mettre toutes nos affaires nous ? On a décidé d’emporter notre sac de trek pour le road trip, j’allais le porter à l’aller vu qu’il serait quasi vide et au retour on le sanglerait sur la moto. Et dire qu’au départ mon copain voulait qu’on parte avec le sac de trek plein et que je le porte dans le cas où il n’y aurait pas de place pour moi ! Pour moi c’était un non catégorique, je savais que mon corps n’allait pas le supporter donc j’insistais pour trouver des valises ou au moins un top case puis on a su qu’on allait pouvoir mettre quelques affaires dans les valises de notre pote, ouf. On ne voulait pas se trimbaler les casques pendant les longues promenades, il en était hors de question (oui plein de choses étaient non négociables décidemment !), on avait dû le faire depuis des mois sur des petits parcours donc on savait combien c’était méga contraignant. Du coup on a acheté, la veille de notre départ je crois, un antivol pour vélo ce qui suffisait pour attacher nos deux casques à la moto. Enfin, j’avais un seul pantalon de moto qui était épais et convenait parfaitement pour l’hiver mais j’avais de gros doutes pour l’été. Dans tous les cas on allait mourir de chaud mais si je pouvais minimiser le calvaire ça serait top. J’ai donc acheté un pantalon moins épais et pas noir. On a également acheté deux t-shirts de sport aérés. Ah et s’il pleut on fait comment ? Si on n’a pas d’airbag ce n’est pas bien grave, si on a l’airbag de mon copain idem mais pour le mien apparemment c’est déconseillé. Je me suis donc retrouvée à acheter un k-way suffisamment large pour le mettre par-dessus mon airbag et ma veste moto. Voilà qu’on était équipés, prêts pour partir à l’aventure !

Mon équipement de moto

(Photo par Romain Zimmer)

-mon casque (avec une visière teintée) et mon intercom (pour communiquer avec mon copain)

-mon airbag

-ma veste de moto été

-mon jean de moto « été » et ses protections

-mes chaussures de moto (je les mets en été et en hiver mais j’avoue que pendant l’été j’ai fini en baskets pour de petites sorties)

-mes gants de moto été

Ce que j’ai emporté avec moi dans le Lubéron (2 nuits)

(Image par StockSnap de Pixabay)

-un gros sac de trek

-un petit sac à dos

-1 k-way

-un t-shirt de sport

-2 t-shirts normaux

-2 shorts (je ne sais pas pourquoi)

-un gilet

-un maillot de bain

-un mini trousse de toilette avec des mini produits

-une paire de baskets

-1 fouta, de la crème solaire, des lunettes de soleil

-des sous-vêtements bien sûr parmi lesquels des chaussettes de rando

Ce que j’ai emporté avec moi dans les Alpes (4 nuits) 

-un gros sac de trek

-un petit sac à dos

-1 k-way

-un t-shirt de sport

-4 t-shirts normaux

-1 short

-1 pantalon

-une polaire

-un maillot de bain

-un mini trousse de toilette avec des mini produits

-une paire de baskets

-1 fouta, de la crème solaire, des lunettes de soleil

-des sous-vêtements bien sûr parmi lesquels des chaussettes de rando

Et bien sûr tout ce qui est portable, chargeurs (de portable, d’airbag et d’intercom), médicaments, boules Quiès (indispensables !), coordonnées des appart Airbnb notées sur un papier en plus de mon téléphone, quelques gâteaux, des mouchoirs. Je dois oublier des choses, dites-moi s’il vous semble que j’ai oublié un truc hyper important qui m’est sorti de la tête !

C’était prévu que l’on ne parte pas juste après l’arrivée de notre pote chez nous pour qu’il puisse se reposer de son premier périple.

Premier road trip : direction le Verdon !

(Photo par Romain Zimmer)

On lui a donc fait visiter quelques coins sympas de notre région et deux jours après nous avons fait un road trip sur la journée dans le Verdon. Même si ce n’est pas dans le titre je vais vous le raconter. C’est vraiment un endroit que je vous recommande ! J’y étais déjà allée quand j’étais petite car la ville de Moustiers-Sainte-Marie me parle, il me semble qu’on avait rapporté de la faïence de là-bas. Enfin bref heureusement que j’y étais déjà allée car dans le cas contraire je me serais demandé « comment est-ce possible ? » tellement c’est magnifique !

Quelques jours avant le départ, j’ai fait le nécessaire pour activer mon airbag et la veille je l’ai chargé. Bref, on ne s’est pas couchés trop tard pour être bien frais le lendemain mais j’ai mal dormi, je ressentais de l’appréhension j’imagine (je suis une grande stressée et je n’arrivais pas à m’enlever de la tête que la moto c’est dangereux même si j’étais rassurée d’avoir mon airbag). Du coup, j’étais dans l’état que je déteste quand je n’ai pas assez dormi mais qui ne se produit pas à chaque fois à savoir un état nauséeux. Je me suis dit que ça commençait bien ! J’ai essayé de manger un petit déjeuner rapide et on est partis.

Je n’avais pas fait plus de 2h de route en moto depuis environ 8 mois. Pendant les trois semaines qui ont précédé nos road trips j’avais suivi un programme de fitness dans le but de me muscler un minimum le dos pour ne pas revivre ce que j’avais vécu 8 mois auparavant pendant un trajet en moto de 4h30 (faut dire que ça faisait quelques semaines à peine que j’étais passagère en moto, pour la première fois de ma vie, et j’ai une sciatique qui ne passe pas depuis plus de deux ans) : au fil du trajet je tenais de moins en moins sur la moto, j’avais mal partout et c’était une vraie torture, j’avais l’impression que mon corps n’allait pas être capable d’aller jusqu’au bout.

Pendant cette journée dans le Verdon on a fait plusieurs pauses pour moi. A l’aller on s’est arrêtés à Sillans-la-Cascade et je ne le conseille pas forcément ou hors saison car il y avait beaucoup de touristes et on a été déçus par ce lieu. Les conditions n’aidaient pas car on mourait de chaud avec nos équipements de moto mais on aurait quand même été déçus sans ça. On a même regretté des semaines après quand mon copain a reçu une amende pour le stationnement là-bas. Au mois on l’a vue cette fameuse cascade et on a pu manger un petit quelque chose là-bas le midi.

On a mis un peu de temps pour arriver dans le Verdon mais franchement c’est vite passé et je n’ai pas eu mal à l’endroit de ma sciatique ! Plus on approchait, plus c’était beau, plus je me sentais dépaysée, plus c’était sauvage aussi. Je ne me rappelle pas de l’itinéraire exact, heureusement que je ne tiens pas un blog voyage car la précision n’est vraiment pas au rendez-vous, je vous raconte ce que j’ai envie de raconter et avec les lacunes de ma mémoire.

On s’est arrêtés à Aiguines en arrivant et ça a été la première claque. On a monté les marches du village jusqu’à un point de vue, wouah !!! On en a pris plein les mirettes. Le lieu était tout mignon et cette vue sur le lac : à couper le souffre. On était bien contents de trouver une fontaine pour remplir nos bouteilles et de l’ombre pour se garer. Par contre, on avait chaud avec nos airbags ! Et c’est toute une manutention, avant de monter sur la moto il faut les activer et le mien a le bouton dans le dos donc je dois demander à mon copain de le faire ou je dois l’enlever, l’activer puis le remettre. Et dès qu’on descend de moto il faut le désactiver parce qu’on ne voudrait pas qu’il se déclenche si on tombe malencontreusement en tant que piétons surtout que ça a un certain coût quand il se déclenche, alors si c’est pour rien… Mais quand on meurt de chaud et qu’on fait un petit trajet il faut les mettre dans le sac de rando et je le porte et qu’est-ce que c’est lourd. Bref, c’est ce qu’on a fait après Aiguines pour aller au lac du Verdon. Il n’y avait pas trop de monde et on a pu se baigner. Là encore il faut prendre toutes les affaires avec nous (airbags et tutti quanti), enlever notre équipement de moto pour finir en maillot de bain. C’était un peu plus froid que la mer chez nous mais franchement c’est largement faisable. On a hésité à faire du paddle et finalement on s’est dit qu’on en ferait plus tard (ce plus tard n’est jamais arrivé). On voulait vraiment profiter du lieu et il nous restait à faire les gorges et s’arrêter à Moustiers. Ce petit plouf dans l’eau était bien sympa. Après ça on a renfilé notre équipement de moto et nos airbags et on a roulé.

Qu’est-ce que c’était beau ce trajet ! Un peu flippant par contre par endroits. On a fait plein de stops pour prendre des photos notamment sur une sorte de plate-forme c’était splendide ! J’ai essayé de changer d’adjectif pour ne pas toujours écrire « magnifique » mais au bout d’un moment je vais être à court et on va tourner en rond je vous préviens. Bon, il ne faut pas avoir le vertige comme mon copain pour prendre des photos depuis ce spot par contre. C’était impressionnant cette route, être entre les falaises, voir l’eau turquoise tout en bas. J’étais émerveillée et apeurée à la fois. Mais franchement ça va ! J’appréhendais ce genre d’endroits à moto car j’ai vécu une mauvaise expérience le premier mois où on a eu la moto et j’ai cru que ça allait toujours être comme ça dès qu’on allait monter et que j’allais voir le vide. Quelques semaines après l’achat de la moto mon copain a eu la bonne idée de nous emmener sur un mont alors qu’il faisait tout gris, tout brumeux et surtout que j’étais encore très loin d’être à l’aise. C’était un endroit où je savais que des gens de mon entourage avaient peur en voiture déjà. Alors qu’on grimpait à un moment c’était plus fort que moi j’avais trop peur, j’imaginais qu’on allait mourir tout simplement, qu’on allait tomber dans le vide car on était en moto (comme si c’était plus difficile qu’en voiture mais je ne connaissais pas du tout la moto) et que mon copain venait juste d’avoir son permis. A un moment donné j’ai vraiment paniqué je voulais descendre j’étais au bord des larmes. Finalement on a fait un premier arrêt inutile puis on a dû remonter sur la moto quelle horreur et on a fini par arriver en un seul morceau tout en haut. On n’a rien vu du tout à cause de la brume ! SU-PER ! Heureusement, justement parce qu’il y avait cette brume, qu’il faisait froid, que c’était l’automne eh bien j’ai ressenti un certain dépaysement tout là-haut mais c’était vraiment le seul point positif. Avant de redescendre il s’est mis à pleuvoir alors j’ai encore eu peur, je copilotais avec mon copain en lui disant quoi faire dans l’intercom au sujet de sa vitesse (je trouvais toujours qu’il roulait trop vite) et il détestait ça. Bref, du coup quand j’ai compris qu’on allait dans les Alpes je me suis dit que j’allais tout le temps ressentir ça et que ça allait être un calvaire. Alors ça plus imaginer que j’allais souffrir physiquement comme 8 mois auparavant ça donnait bien envie ! Comme quoi je suis sadique ou bien prête à tout pour partir à l’aventure ! Eh bien, contre toute attente dans le Verdon j’ai eu un peu peur mais vite fait, j’ai même eu moins peur que mon copain. Après ce trajet incroyable on a fait les gorges. C’était sympa et d’un coup on a dû s’arrêter car il y a eu un accident.

Une fois qu’on a pu repartir on a décidé d’aller à Moustiers et de ne pas aller je ne sais plus où. Que c’est mignon olala ! J’ai adoré, on y aurait bien dormi pour prolonger notre séjour. Ouais, on a regretté de n’y être allés que sur une journée sous prétexte que ce n’est pas très loin de chez nous. On a mangé là-bas. On a hésité au départ, c’était soit vite on prenait la route et on mangeait en rentrant c’est-à-dire vers 23h soit on mangeait avant. Donc on a mangé, la nuit est tombée et il fut temps pour nous de rentrer. On n’imaginait pas que le trajet retour dans la nuit serait si barbant et interminable ! Alors déjà la moto de notre pote avait un faux contact qui produisait un problème au niveau de ses phares et mon copain lui avait un problème de réglage de la hauteur de ses phares ce qui faisait qu’il éblouissait tout le monde. Résultat on essayait de trouver la solution la moins pire donc parfois c’était l’un devant et d’autres fois l’autre. On était souvent derrière car notre pote se prenait les phares de mon copain dans ses rétros. Bref une première galère. Ensuite, on avait froid. Et surtout, on s’ennuyait, c’était monotone, on était tout seuls sur les routes, il faisait tout noir. Avec mon copain au moins on pouvait communiquer entre nous grâce aux intercom et malgré ça on en avait marre de ce trajet retour. Et il ne me restait pas beaucoup de batterie, j’avais oublié de le recharger avant cette sortie. J’avais envie de dormir en plus. A un moment je lisais tous les panneaux que je voyais. Sur le retour j’ai commencé à avoir mal à la sciatique mais ça pouvait aller. On s’est dit plus jamais un retour de nuit. Déjà les retours c’est toujours moins bien que les allers, forcément, alors de nuit quand c’est juste interminable, non merci. On est rentrés chez nous vers minuit. C’était super et ça nous donnait un avant-goût de ce qui nous attendait deux jours plus tard pour notre séjour dans le Lubéron. Je voudrais tellement retourner dans le Verdon ! On n’a vraiment pas tout vu mais on a vu les incontournables : le lac, les gorges et Moustiers-Sainte-Marie. Il y avait des champs de lavande qu’on aurait pu voir et j’imagine tout un tas d’autres trucs sans parler de faire des activités comme du paddle ou du kayak. On a été chanceux car on a eu un temps magnifique et il n’y avait pas trop de monde sur les routes alors qu’on était en plein mois de juillet. En tout cas j’ai pu tester mon airbag et il était plutôt pratique même si on se demandait comment on allait faire si les températures montaient davantage ce qui allait certainement se produire. Je recommande à 1000% le Verdon, c’est incroyable !

Que l’aventure commence !

(Image par Shad0wfall de Pixabay)

Mais du coup, on s’est demandé si on n’allait pas être déçus de la suite étant donné qu’avec cette première escapade la barre était haute ! Ça nous l’avait fait pendant notre voyage au long cours. Après des villes magnifiques comme Stockholm ou Prague, où qu’on voyage c’est dur de rivaliser ! Ce qui me rassurait c’était que mon corps allait supporter la suite et que je n’avais plus peur de tomber dans le vide à moto. J’avais trop hâte de vivre les road trips à venir ! Je ressentais une excitation comme quand je voyage à l’étranger, comme quoi ça me le fait en France aussi, c’était également le cas à Lyon et à Toulouse. J’étais trop contente de vivre ces expériences et de ressentir ces émotions, je me sentais vivante et chanceuse.

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